Patronyme Souquieres
Sommaire
Étymologie du patronyme Souquieres
La question éventuelle d'une orthographe originelle de Souquières n'a pas de sens. En effet, des changements intervenaient fréquemment jusqu'au début du 20è siècle. Ainsi il n'existe pas de branches distinctes entre toutes ces orthographes, du moins dès que nous remontons avant la Révolution. L'orthographe aujourd'hui la plus souvent rencontrée est Souquières.
Dans la langue locale (occitan languedocien), " souquières " désigne un lieu où se trouvent des souches d'arbres. "On trouve entre 1600 et 1700, Souquière écrit / Socqieyre / qui correspond à sa prononciation occitane: /oc/=/ou/, /q/=/qu/, /ey/=/eil/ . Idem pour /Socqieyrou/ qui est le diminutif occitan de Souquières" (source : Yvette Souquières)
Souche = souq soucheire = soucheyre = souquière = endroit avec souches d'arbres souchou = souchoun = petite souche souco-sèco = souche sèche
SOUQUE - SOUQUES (Sud-ouest) Formes méridionales de SOUCHE - SOUCHET Dérivé: SOUQUIERE : endroit parsemé de souches Source: dictionnaire des Noms de famille : Marie-Thérèse Morlet (Perrin)
La signification donnée à Souquière est surnom de l'homme qui était originaire de Souquière = le champ mal défriché, l'endroit caractérisé par un grand nombre de souches. (source: dictionnaire des noms de famille en Auvergne de J-P Gonzalez).
Conférence le 4 août à Teissières de l'Institut d'Etudes Occitanes - IEO (C.Liethoudt) "SOUQUIERES : de l'occitan -soquièra- (dérivé de -soca-, souche d'arbre) qui signifie "l'endroit des souches". Mentionné trois fois dans le Dictionnaire topographique du Cantal (Emile Amé). Ceci rappel la technique ancienne du cernage, qui consistait à couper l'écorce tout autour de l'arbre, sur une faible hauteur, afin de le faire mourir. Faute de bêtes de somme et d'outillage, une fois l'arbre abattu, les souches étaient laissées sur place, jusqu'à pourrissement naturel" (extrait du recueil des conférences des "Rencontres généalogiques de la Châtaigneraie" 2001/2002, prochainement disponible sur Aprogemere)
Des lieux-dits "Souquières" (autant d'origines possibles)
... dans le Cantal
- Arpajon : la Souque: domaine ruiné
- Aurillac : carte postale ancienne représentent la place de l'hôtel de ville au début du XXe siècle, un jour de marché où l'on distingue la maison de Charles Souquières (Branche H).
- La cour de la Maison Souquières (s'appelait autrefois, l'hôtel LABROHA). Elle était de style gothique et ce n'est que dans la cour que l'on peut se rendre compte de ce pouvait être la beauté de cette bâtisse autrefois. Le rez-de- chaussée, occupé jusque dans les années 2000 par une agence du Crédit Agricole permettait d'admirer également l'intérieur, où il subsiste de vastes cheminées de pierre. Ce n'est que dans le courant du XVIIIe /XIXe siècle que la façade de cette maison a été avancée et que l'on ne peut deviner à présent ce qu'elle cache.
- Boisset : la Souquière et le Souq (même lieu-dit?)
- Cassaniouze : les Souquières: domaine ruiné, Domaines des Souquières del Catelo, 1676 (état civil).
- Chanet : la Soucheire: forêt défrichée
- Chastel-sur-Murat : les Soucheires: domaine ruiné
- Falgoux (le) : Souchars (la Coste del Cap del): montagne à vacherie,
- Laveissenet : la Soucheire: lieu détruit
- Leucamp : la Souque : lieu-dit
- Lieutadès : les Souques: domaine ruiné et montagne à vacherie
- Marcenat : les Souchous: écart
- Marcenat : Souche-Serres: écart
- Marcolès : Souquières: moulin
- Le 31.5.1810 à Marcolès, il est déclaré que Antoine Souquières est meunier au moulin dit "de Souquières". Le 18.4.1826 est née au Moulin de Souquières une fille à Louis Souquières, meunier au lieu de Souquières. En 1869, Pierre Boussaroque, 33 ans, est meunier au " moulin de Souquières ". Ce "moulin de Souquières" est situé à 1 km de Marcolès sur la route d'Aurillac, un peu avant les villages de Mougeac et Canhac lorsque l'on quitte Marcolès. Il est aujourd'hui enregistré au cadastre sous le nom de "moulin de Canhac".
- Marcolès : Souquières: ruisseau affluent de la Rance, cours d'eau de 2400m.
- Marmanhac : Souquière (bois de) : bois, forêt (source : site de l'IGN)
- Parlan : la Souquière : écart (la Sueguieyre 1643, la Souquieyre 1646, la Socquier 1648, la Chuquieyre 1656, la Souquieyre 1661, la Souquières, Lasouquière 1748).
- Acte démontrant que l'on appelait les gens par le nom du lieu:
- "Le 2.1.1750, décès de Jean Rodes, dit Souquières, du village de la Souquières à Parlan, environ 75 ans"
- Paulhac : la Soucheire : montagne à vacherie
- Pierrefort : les Souches : village et moulin
- Pleaux : le Souqueirou : écart
- Pradiers : la Souchoune : montagne à vacherie
- Sansac-de-Marmiesse : Souquières : lieu-dit
- Saint-Constant : les Souquières
- Saint-Mamet-la-Salvetat : le Souco-Sèco : domaine ruiné
- Saint-Saturnin : la Soucheyre : montagne à vacherie
- Saint-Urcize : la Souque: montagne à burons
- Saint-Urcize : la Soucharalde : hameau
- Vèze : la Souche : hameau et montagne à vacherie
- Vezels-Roussy : la Souquière : hameau
- Ytrac : le Souq : domaine ruiné
écart : tout petit hameau à l'écart de toute autre habitation.
... en Aveyron
- Lassouts : Les Souquieres : au sud de Lassouts (canton d'Espalion) La Souquiere / Graphie occitane : La Souquiera / paroisse originelle : St Aman. Archives de Lassouts E 1/157 "Le 17eme juillet 1671, dans l'eglise que dessus, a ete par moy soussigne, baptise : Anthoyne Raynal, fils a Anthoyne Raynal et Anne Lacan, maries du masage (hameau) de la Souquiere, parrin : Anthoyne Raynal, de Severac l'eglise. marraine : Anthoinette Lacan de la Souquiere, tous deux du present diocaize. signe Raynal, pretre et vicaire."
- Saint-Félix-de-Lunel : Souquieres : hameau au nord de Lunel (Canton de Conques)
- Sénergues : lieu-dit "La Souquerie" - Parroisse d'Aynès (au bord du Lot) : Notes du notaire Jalenques en 1765: Me Marie Eulalie Delom de la Sucquière de Gironde, paroisse d'Aynès, épouse Joseph Jalenques de Cassaniouze.
Tarn
D'aprés le Tranier il y a 11 lieux-dits "La Souque" dans le Tarn dont : Angles : La Souque : Paroisse Saint-Martin Puylaurens : Le Souq Bournhounac : la Souque
Une propriété « La Souche » est située sur la commune de Pierrefort (Cantal). Un dessin la représentant date de 1848. A cette époque la ferme de « La Souche » faisait partie de la propriété du « Perrier ». Le propriétaire en était Auguste COSTES, banquier à Saint-Flour. Son toit était couvert de chaume vers 1950. Info de Bruno Stremsdoerfer
Etymologie - Article de Nice-Matin
Un article signé par André COMPAN paru dans Nice-Matin en Août 1990
" Illustration du nissart et du provençal (CDLXXII) - Un lieu dit la Souquière " " Non loin de la forêt d'Asse (Alpes-de-Haute-Provence), un de nos lecteurs, M. Aimé Reboul a noté un lieu dit la Souquière. Il l'a écrit ainsi d'après la graphie officielle du cadastre et est resté perplexe quant à sa signification. Il est vraisemblable que cette forme peut prêter à confusion et nous retrouvons en pays d'oc des variantes telles que : la souchière, la souchère, entraînent normalement des appellations de patronymes. Ces différentes écritures ne laissant guère de doute sur l'étymologie. Elle vient du gaulois *tsukka, même sens, là où le latin classique se sert de : stipes, pilis ou caudex.
La souquièro est donc une clairière, un essart, un lieu défriché où il reste encore des souches, sans doute trop importantes pour qu'on ait pu les déraciner. D'autres noms de la même origine s'appliquent à cette définition : la soucàio (nom de famille Soucaille), la soucarèdo, lou soucan. Toujours dans les Alpes-de-Haute-Provence, nous citerons lou Souchié, un bois près de Sainte-Croix-du-Verdon où abonde le champignon dit globulaire turbith, qui a d'ailleurs pris ce nom commun de souchié dans le langage courant, à rapprocher de soucareu, le champignon sur souches.
De ce terme de *tsukka que de filiations ! En provençal médiéval, la soca est un tronc d'arbre coupé quasiment au niveau du sol. L'abbé Pellegrini y voyait par comparaison le met niçois réputé de la soca - et non : socca - Mais, en l'absence de documents anciens, nous ne trancherons point de débat. Chez Chrestien de Troyes, la forme de l'ancien français est : çoche, partie d'un tronc coupé en terre. Chez Villon, la seuche est une grosse bûche. Le nissart écrit souca et possède le diminutif soucoun, bûche. Le gavot emploie soutso et c'est spécifiquement une bûche de mélèze. En gascon, la souque est un tronc d'arbre quelque peu difforme et rabougri. En Sologne, le sens est très restreint : il désigne par souche une imitation de cierge où l'on ajuste une simple bougie. L'ancien provençal soc a connu une certaine renommée grâce au célèbre grammairien Uc Faidit qui lui donne le sens de grosse buche bien ronde. Dans les documents médiévaux, il prend plusieurs acceptions. C'est un billot de boucher (année 1278), un tronc dans lequel on glisse les offrandes (en 1380), ou encore un affût de canon (en 1476). Le diminutif souchon, devenu nom de famille, c'est un petit billot ou morceau d'arbre taillés. En picard, le diminutif tsoquelet, choquelet, définit ce qu'on a coupé d'un arbre en l'abattant à la hache. Une autre forme de diminutif est fréquente ; tel est le cas du provençal souquets, partie d'un arbre coupée au ras de terre ou encore blocs de bois destinés à équilibrer une cuve.
En 1425, nous avons, noté lo soquet, le petit siège pour traire les chèvres ou les vaches et le féminin soqueta, souche de bois bien sec. Il ne faut pas confondre ici avec le français socque et son diminutif socquette, issus du provençal soca, du latin soccus, espèce de soulier bas, d'où chausson. Dans le vocabulaire des agents forestiers sous les comtes de Provence, on utilisait le verbe soquetar – soucheta en langue moderne – pour désigner le fait de marquer les arbres à abattre. A Nice, le verbe dessoucaià décrit l'action d'ébranler une souche, et par extension une pierre de taille avec un pic ou une barre à mine.
L'artisanat y puise aussi des mots spécifiques : ainsi un bouosc o un taulié soucarut, c'est un tronc d'arbre scié qui peut servir de table rustique. De même dit-on à Nice un ressouc, pour un chicot d'arbre qui peut servir de motif de sculpture. Quant au verbe ensoucà, il s'applique, techniquement parlant, à l'art difficile de placer le mouton d'une cloche... Le diminutif souquihoun, partie supérieure du cep de vigne, a été introduit sous la forme souquillon par Alphonse Daudet en1891. En consultant la droit médiéval en Provence, si cher au coeur du regretté professeur Aubenas, que de découvertes : un souquet, en 1380, est un droit d'octroi sur le vin, et en temps de disette financière, un reire-soquet est un double droit sur la même boisson.
En 1432, un fonctionnaire qui sévit dans ce domaine apparaît au grand dam des redevables : c'est, logiquement, un soquatier, percepteur du droit ci-dessus, et un verbe en est issu : soquatejar, percevoir un tel droit. L'ancien français coche, mentionné ci-dessus, entraîne une manière de métathèse : souche couche, d'où un cossillon, éclat de souche de vigne et une coussette éclat de bois. Le croisement avec suc, éminence, donne en outre les noms de famille: Chuquet, Suchet.
Une dernière confusion est à éviter: avec Sòucu (accent grave sur le ò de sòu) souco, soco, du latin sulcus, labour, sillon, binage. Ce mot signifie en provençal, groupe, équipe et il est bien décrit par Mistral dans Mirèio: un groupe constitué par deux moissonneurs et une lieuse de gerbes permettant d'opérer la récolte de front sur un billon de blé. D'où la locution : faire sòuco, aller de compagnie, en amis.
André COMPAN - NICE-MATIN - Août 1990 "
Source : Article transmis par Maurice Souquières de Caen le 7/2/2000.
Etymologie - Article de La Montagne
LA MONTAGNE 14.09.2003
Noms d'ici : SOUCHON, SOUCHAL, SOUQUIERE(S), SOUCHEYRE, SOUQ ET SUCHET
Ces patronymes prennent racine dans un vieux nom gaulois. Pour retrouver leur origine, faisons un saut en arrière de plusieurs siècles. Nous sommes bien en présence d'anciens surnoms donnés dès le XIIIe siècle à des hommes originaires de lieux-dits forestiers caractérisés par des souches. Mais il nous faut encore reculer dans le temps pour retrouver le gaulois « tsukka » à l'origine de l'allemand et de l'anglais « stock » (*) et de l'ancien français « soque », « suche » : « souche » :« partie restante d'un tronc, avec les racines, quand un arbre a été coupé », comme dans : « Là, d'une souche à demi consumée Sortait encore un peu de fumée.. » ... Ou encore, « partie basse du tronc », comme dans : « Tout aussi comme de la racine vient la souche de l'arbre et de la souche les branches ». Ces noms sont à rapprocher de l'auvergnat moderne « souchà », « suchà », « suchau » ; mais aussi du berrichon « suque », du picard « chuque », du provençal « soca », de l'italien « zoca ».
Attention cependant à ces exceptions : - l'ancien français « souche » désignait également le pied d'une plante en majeure partie enfoncée dans la terre, et notamment le cep de vigne. De là, au figuré, la notion de « souche » pour « source » et la locution « faire souche » : « avoir des descendants » - l'ancien français « souche » avait plusieurs autres sens : « sorte d'oiseau », « petit soc de charrue », « plante aromatique » et même «chausson », d'où d'autres (rares) possibilités de surnoms - enfin, l'ancien français « estoc » (voir plus haut, « stock ») : « pointe de l'épée » avait aussi un autre sens, celui de « souche », ce qui lui vaut d'être cité dans cette chronique. Autrefois, on appelait « blanc-estoc » la « coupe d'un arbre au plus ras du sol ». Par contre, il est difficile de dire aujourd'hui quel était le sens du surnom à l'origine du nom de famille Estoc.
Des hameaux et des hommes
Comme il se doit, nous retrouvons ces « bois à moitié défrichés », ces « lieux caractérisés par la présence de nombreuses souches. » dans notre région : - « Souchal », sur la commune de Verneugheol dans le Puy-de-DômeArmes des Souchons - « Soucheyre », sur la commune de La Besseyre-Saint-Mary en Haute-Loire - « Souchon », sur les communes d'Araules, de Lafarre et de Saint-Hostien en Haute-Loire ; de Tours-sur-Meymont dans le Puy-de-Dôme - « Les Souchons » sur la commune de Marcenat dans le Cantal, plutôt dans le sens de « domaine anciennement habité par une famille Souchon » (image de droire = Armes des Souchons) - « Le Souq » sur la commune de Boisset ; la Souque sur la commune de Leucamp dans le Cantal - Souquière(s), La Souquière, Les Souquières, sur les communes de Parlan, de Labesserette et de Saint-Constant dans le Cantal
Dans l'Annuaire des Postes et Télégraphes de 1939, nous avons retrouvé pour vous : M.Souchon boucher à Vichy ; le général Souchal à Clermont-Ferrand et M.Soucheyre marchand de vin à Gelles ; M. Souquières pharmacien à Aurillac et une demoiselle Souchon couturière au Puy-en-Velay.
Pour l'anecdote, rappelons qu'on appelait autrefois « souche » le plus long des deux morceaux de bois sur lesquels les boulangers et les bouchers faisaient des entailles pour marquer la quantité de pain et de viande qu'ils fournissaient à crédit. La souche restait entre les mains du marchand, l'échantillon entre celles de l'acheteur.
Cas particulier : le patronyme Soucachet, très rare en France, moins de 10 foyers, ne fait pas allusion à un éventuel « magot » mis à l'abri (des sous cachés.) mais semble à rapprocher du surnom de l'homme originaire de « Soucasse » (« la maison située sous un arbre », de l'occitan « casse » : « chêne »). Parmi les noms rares, notons l'existence dans notre région des formes Soucher, Souchère, Souchard, Souchaud, Souchayre, Soucheire, Souchois, Souchu, Suchère. De leur côté, des patronymes plus fréquents comme Souchal, Souche, Souchet, Soucheyre, Souchon, Souq, Souquière(s), Suchet, Sucheyre sont représentés au total par 11 400 personnes en France. En Auvergne, environ 1300 personnes portent l'un ou l'autre de ces patronymes.
Ils se répartissent ainsi : 230 dans l'Allier, 160 dans le Cantal, 240 en Haute-Loire et 700 dans le Puy-de-Dôme.
Pierre-Gabriel GONZALEZ
(*) De « souche », « stock » est passé en Angleterre au sens de «récipient », puis de « fonds » et de « capital », avant de nous revenir avec la notion de « quantité restante ».
Variantes du patronyme Souquières selon le bottin téléphonique en France
Nous pouvons comptabiliser de nos jours différentes variantes orthographiques. Ces variantes sont sans doute des transformations. Il en existe sûrement d'autres. Par convention et pour simplifier nous emploierons par la suite le patronyme Souquières pour désigner l'ensemble de ces patronymes (sauf précisions contraires). Ce choix est arbitraire.
Orthographes annuaire du téléphone
Nombre d'abonnés au tél.
Souquières 75 Souquière 64 Souquiere 21 Souquieres 20 Souquiéres 5 Souquier 5 Souquié 4 Souquiére 3 Souquies 1 Total 200
Autres variantes constatées dans les actes anciens : Souquieyre, Socquieyre
Souquières "remarquables"
Le premier Souquières signalé en 1480
"La seigneurie de Lacapelle-en-Vezie : apercu historique " in La Chataigneraie cantalienne article de la Revue de la Haute-Auvergne, avril-sept.2000 de Lucien GERBEAU et Jean VEZOLE. citation de L.G. : " Apres cette breve evocation de six siecles d'histoire de Lacapelle-en-Vezie, revenons a Carlat, le 29 octobre 1480 : Aymeric de Gausserand presente au nom de ses parents l'hommage du au vicomte qui etait alors Jean de Blosset, chevalier, grand senechal et reformateur de Normandie.....Aymeric de Gausserand, egrenant dans une langue (l'occitan) ...les noms des affars, villages, hameaux et paroisses dependants de la seigneurie de Lacapelle-en-Vezie. Le notaire Claude Sobrier, egalement cure de Saint-Clement, qui au fur et a mesure devait servir d'interprete, mit au net cet acte. La copie que nous en possedons (archives privees) doit dater du XVIIIe siecle. Elle debute en latin mais continue par un melange incoherent au dernier degre de langue d'oc et de latin." Vient la traduction de ce denombrement de 1480, due a J.V. " ...Item una autra terra apelada " La Soquieyra ", confrantan amb lo camin de Cavalhac al Mas, amb les affars del Mas..." Cavalhac est un hameau de Lacapelle-del-Fraisse qui jouxte Lacapelle-en-Vezie, et proche de Marcoles ...
Les Souquières hors de métrople
Europe, Amérique, Asie, Pacifique, Afrique
Souquières Nicole(branche H) Brême - Allemagne
Decroix Annie(branche C) Munich - Allemagne
Figeac Yves(branche A) La Haye - Pays-Bas
Bouges Alain(branche D) Andalousie - Espagne
Di Prini Maria (branche 12) Monza - Italie
Laporte Pierre Claude et sa descendance (Branche J) - Angleterre
Souquieres Jacques(Branche E) prêtre décédé en 1880 à Quito - Equateur
Souquières Henri (Branche 01) - Canada.
Souquières Catherine - Canada
Laporte Claude et sa descendance (Branche J) - Canada - Ontario
Jeanne Garin (branche I) Martinique
Brisson Jean-Paul (branche O) Montevideo - Uruguay
Estanislao Do Amaral (différents descendants branche 12) Saô Paulo - Brésil
Solis Amandine (branche 12) Ciudad Madero - Mexique
Marty, Martin Adrien est décédé en mai 1893 à 34 ans dans les Iles du Salut (Guyane Française), 3 iles au large de Cayenne (Royale, Saint-Joseph, du diable) Ancien établissement pénitentiaire. (fils de Marie Jeanne Marguerite Souquieres).
L'Hoir Bernadette (Branche A)
Souquieres Jean Pierre Adrien décédé en 1856 a Alger (Algérie) (recherchons informations)
Souquieres Jean Hippolyte Rene marié en 1902 à Constantine (Algérie) avec REYNOL Marguerite Louise en 1902
Souquières Pascale (branche H) Tahiti y exploite un club de plongée sous-marine ? ? (branche ? - un descendant du couple Laurent Croutes - Françoise Souquieres) est parti au Canada (avec son cousin Elie Lagarrigue branche A). Il a épousé une anglaise rencontrée au Canada. Le couple est parti ensuite en .... Nouvelle-Zélande où il vit toujours.
Une passagere sur "La Touraine" au depart du Havre, et debarquee a Ellis Island (New-York) le 2.10.1897 : SOUGUIERE Adeline, agee de 18 ans, residant a Decazeville (Aveyron). Elle est la seule a porter ce nom sur le bateau. "J'ai consulté le manifeste du bateau "La Touraine" parti du Havre le 25.9.1897 et arrive a New-York le 2.10.1897. Adeline y figure bien et sous le nom de SOUQUIERE, et non Souguiere. Elle a 18 ans, et dit rejoindre sa soeur au 28 Valencia St. Elle semble etre en compagnie de : - Nathalie FABRE, 40 ans, sa fille Leontine, 11 ans, et - Philippe GOUDY, 26 ans, mineur de profession, tous originaires de Decazeville. Ce ne sont pas les seuls sur cette traversée à être originaires de Decazeville : Eugenie DAYNIEZ, 19 ans, Theophile CARMIS, 20 ans, Auguste LAURENT, 19 ans, Louis SALABERT, 25 ans, Nathalie PONS, 18 ans, Eugenie DOMERGUE, 19 ans, Adrien CAMBATALADE, 42 ans, sa femme Leontine, 35 ans, et leur fils Marius, 15 balais. Je vais maintenant rechercher qui, a cette epoque, occupait le 28 Valencia St." Alain Bouges - mai 2005
Le départ groupé était très courant. En Alsace des recruteurs parcouraient même la province pour organiser ces départs. Dans un même village parents, amis, voisins s'organisaient pour partir ensemble. Cela pouvait prendre de telles proportions que sous le 2sd empire les préfets alarmés en avaient référé au gouv; Ils avaient reçu pour instructions de faire des contrôles et autres embarras tatillons pour freiner l'émigration. Des gens partaient d'ailleurs discrètement et ne demandaient pas de passeport pour l'étranger mais pour l'intérieur par mesure d'économie mais aussi par désir de discrétion. Ils se débrouillaient ensuite au port pour embarquer malgré tout. Bcp d'Alsaciens passaient la frontière et se joignaient aux Allemands et aux Suisses.
Letizia Ortiz Rocasolana mariée le 24/5/2004 avec Felipe de Bourbon, prince héritier d'Espagne est une descendante de Souquieres branche H. (Elle est descendante de Pantaléon Roquesoulane, né en 1716 à Marcoès et décédé en Espagne, lui-même petit fils d'Isabeau Souquieres ...) [émigration du Cantal en Espagne importante à cette époque]
Email de Francine : monpierrot chez videotron au ca en août 2006 " Nous sommes des descendants de Socquié, Socquier, Socquet d'Amériques soit du Canada présentement. Nous portons différents noms encore d'une même filiation, Socque, Sokie, juste au Canada. Mon grand-père avait signé Goerge Socquié sur l'acte de naissance de ma mère. Son père à lui venait de se marier et enfanter leurs premier fils à Ivry sur Seine. Ils ont ensuite immigré fin des années l 8 0 0. Marié à une dame Pierrot, ils ont eu plusieurs enfants en Amérique ensuite pour venir s'installer avec leur fils dans une petite ville Valleyfield, au Québec, Canada. Leurs noms ont changé lorsqu'ils ont voyagé pour devenir ceux mentionnés ci haut. Nous n'avons pa pu reculer de plus de cent ans. J'ai retrouvé un fils du premier fils né dit-il à Arvier, au nom de Émile Octave SOCQUIER né en 1853. Comment s'est effectué ce passage de Socquier à Socqué ou Socquié, il y aurait encore de la famille de cette union en Amérique. En regardant des archives de naissances d'ici, on retrouve aussi une union avec un autre de leurs enfants à des SAUVAGES qui forment maintenant une immense généalogie. Mon grand-père lui a épousé une dame Paris qui ont formé aussi une grande filliation. Nous sommes pour vrai dire une immense famille. Je croyais la descendance de Socquié de provenance Espagnol peut-être SOCQUIERO. En faisant de la recherche, il n'y a rien comme tel mais plutôt écris d'un orthographe différent. Ces arrière grand-parent auraient aménagé en Amérique dans les années 1885."
Mourjou - Vétérans
Lors de la cérémonie commémorative du 7 septembre 1919 à Mourjou, sont cités: " derniers vétérans de 1870 : Pierre Souquières de la Fangasse, ... , réunis autour de leur porte-étendard, M. Jean Souquières du Mas. " 26ème. Souquière Henri, de Mourjou, mort le 20 juillet 1916 à Kiu-Monacu (Somme) ; " Ces glorieux blessés sont : ... , Souquières Cyprien, de la Fangasse ; " A quelle branche les rattacher ? Nos inspecteurs sont sur les traces. A suivre ...
Titulaires de la legion d'honneur (base Leonore)
et monuments au mort
- SOUQUIERES Emile Joseph º13.2.1823 à Cassaniouze (branche A)
- SOUQUIERES Marie Sylvain Andre º le 9.5.1885 à Aurillac (branche H)
- SOUQUIERES MFPG ( Marie Frederic Gabriel "Pierre" ) º le 14.7.1879 (branche H) "Monument au Mort de Aurillac". Soldats morts au front lors de la guerre 14-18 : "Souquiere A" et "Souquiere P." "Souquieres A." serait SOUQUIERES Marie Sylvain Andre º le 9.5.1885 a Aurillac (+ 1917)
"Souquieres P." serait SOUQUIERES MFPG ( Marie Frederic Gabriel "Pierre" ) º le 14.7.1879 (+1916)
- SOUQUIERE Gabriel-Antonin ° vers 1890 à Echillais (17) Capitaine au 134° RI de Mont-de-Marsan. Fut fait chevalier la légion d'honneur en 1918. (n'est pas sur la base Leonore)
- SOUQUERE Louis né le 8/8/1873 à L'isle-de-Noël (Gers)
plaque SouquieresSOUQUIERE Gabriel "décédé.à la fin de la 2nd guerre mondiale en déportation." est sur 3 monuments au mort. Communes de : Echillais (17)
- "SOUQUIERE Gabriel 1939-1945" (lieu de naissance)
Gap (05) "SOUQUIERES Gabriel 1939-1945" (y a été arrêté pendant la Guerre) Royan (17) - Place Foch "SOUQUIERES ?? 1939-1945 " (lieu d'habitation)
Les Souquiere(s) morts pour la France de la guerre 1914-1918
- SOUQUIERE François Jean 25-07-1887
- SOUQUIERE Louis Denis 31-12-1895
- SOUQUIERE Louis Jean 31-01-1882
- SOUQUIERE Pierre Henri 05-02-1884
- SOUQUIERES Antoine 24-06-1892
- SOUQUIERES Emile 26-08-1891
- SOUQUIERES Emile Marius 09-07-1885
- SOUQUIERES Eugène 06-06-1897
- SOUQUIERES Marie Frédéric Gabriel Pierre 13-07-1879
- SOUQUIERES Marie Sylvain André 09-05-1885
- SOUQUIERES Pierre 20-08-1894
Montsalvy - Enfants du Canton de Montsalvy morts pour la France
Source "Société Amicale des Originaires du Canton de Montsalvy" Fondée en 1904 siège: 6-8, avenue Stinville, Charenton.
- Cassaniouze - 70 - Léon Souquières
- Junhac - 34 - Emile Souquières
- Labesserette - 19
- Lacapelle del Fraysse - 18- Antonin Souquières
- Lafeuillade en Vézie - 5
- Ladinhac - 46
- Lapeyrugue - 16
- Sénézergues - 32
- Sansac-Veynazes - 18
- Teissières-les Bouliès - 33
- Vieillevie - 29
Médaillé de Sainte-Hélène
La médaille de Sainte Hélène est créée en 1857. Voulue par Napoléon III, elle récompense les 390 000 soldats encore vivants en 1857, qui ont combattu aux côtés de Napoléon 1er pendant les guerres de l'Empire de 1792 à1815.
- SOUQUIER Pierre : domicilié à Alos (arr. Gaillac dans le Tarn) - Régiment : 18ème RIL
- SOUQUIER Jean: commune_de_residence: Montdurausse, arrondissement: Albi, departement: Tarn (81) - regiment: 65ème et 80ème RIL
Une championne
Ganneau Renée (branche H) : championne de France de vitesse sur vélo en 1960, 1961, 1962 et 1963.Humarathon Vitry Résultats 2002 RESULTATS 10 KM LIFA/CRSE FEMMES : CLASS NOM PRENOM TEMPS CLASS_CAT CAT CLUB 21 SOUQUIERES CORINNE 00h56'35 5 VF0 AXA SPORTS ET LOISIRS Les Foulées des Laveuses du COUDRAY 7,5 Km DIMANCHE 22 JUIN 2003 50 SOUQUIERES CORINNE 594667 SF AXA SPORTS ET LOISIRS 00:44:35 6 464
Vu dans le fichier AD 15 : rubrique "Matières", à Souquières
" Indicateur - guide offert par la Maison de Tissus Ch. Souquières fondée en 1850, place de l'Hôtel de ville à Aurillac (chemins de fer, courriers, renseignements divers) " In 8°, 22 pages, cote II 10263
Un chien Husky
En février 2000, on signale un chien Husky lors d'un colonie de chiens de traîneau dans les Vosges. Ce chien portait un collier où il était écrit « Souquières ». Personne ne connaissait ce chien. Juillet 2003 : le sujet revient sur le tapis. Yves Marret nous dit : "je connais un Husky avec un collier Souquières. C'est Eurka, une femelle. Propriétaire : Bernard Souquières, Chemin du Barra 15000 Aurillac. »
Association des Souquieres - ASDSM
Objectifs
ASDSM - Association des Souquières et Descendants de Souquières du Monde. Ce fut une association totalement virtuelle, pas de statuts, mais très active durant quelques années. Les deux premiers membres ont pris contact en septembre 1996. Une liste de discussion créée en novembre 1999. Une activité intense jusqu'à l'automne 2004. Une dispute dont plus personne ne se souvient de l'origine (sic) entraîna la fin de la dynamique et le départ d'un des piliers.
ASDSM existait à travers un site qui se nommait www.souquieres.org qui a basculé ensuite entièrement sur wikigenweb . Néanmoins un grande partie de l'équipe continua à exister en recréant un autre site avec www.souquieres.fr
Souquières : patronyme d'origine typographique , différentes orthographes existent. Descendant de Souquières : être descendant d'un(e) Souquières suffit pour faire partie de l'ASDSM. Monde : l'origine est identifiée en France, dans le département du Cantal et plus exactement au Sud d'Aurillac, dans la région dite de la Châtaigneraie. Les descendants peuvent se situer partout dans le monde (plusieurs cas connus en Europe, Amérique et Asie/Pacifique) (voir la page Recherche).
- Objectifs : Répertorier les Souquières en les classant par branches
- Synthétiser les recherches sur les Souquières et leurs descendants.
- Mettre en contact les cousins retrouvés par ce biais
- Diffuser ces informations via ce site, Geneanet ou la liste de diffusion.
- Les branches : objectif de réduction et d'augmentation du nombre de branches.
- Réduire : trouver les liens entre les branches afin d'en supprimer du fait d'un rattachement
- Augmenter : trouver d'autres branches, soit par l'introduction de nouveaux membres avec leur branches, soit par la découverte d'une nouvelle branche par un membre existant.
- Compléter : recenser les descendants d'une branche qu'ils soient Souquières ou non (voir la page Recensement )
Il n'existe pas un ancêtre commun à tous les Souquières existants. En effet il existe trop de lieux-dits qui sont à la base de ce patronyme. Nous pouvons au mieux espérer réduire le nombre de branches.
"Historique" de notre Association
- 1995 Renaud Anzieu démarre sa généalogie.
- 1996 il contacte par hasard une Souquières de la région.
- 1997 il lui transmet "à tout hasard" ses ascendants sur la région.
- 1998 diverses rencontres par des associations classiques.
- 1999 diverses rencontres par des associations classiques.
- 1999 nov l'auteur se lance sur Internet et réalise le 1er site de l'ASDSM
- 2000 juillet 1300 visites sur le site, 5è version de ce site
- 2000 2000 visites sur le site
- 2001 8è version du site
- 2002 version 12 du site, un nom de domaine pour le site
- 2003 version 13 du site, 32000 visiteurs sur l'année, 140 par jour, fichier de 11000 individus
Organigramme de l'Association
sans objet
Devises et cri ...
Notre devise "Pas un Souquières, nous n'abandonnerons"
Pourquoi les Souquières ... ?
On me pose souvent cette question ... " mais pourquoi les Souquières ? "
Au commencement je voulais un faire-part de naissance original pour mon premier enfant : un arbre généalogique interactif. Après envoi du faire-part, mes correspondants devaient me le retourner complété. Je m'engageais pour mon second enfant à retourner un autre arbre plus complet grâce aux informations collectées. Ayant eu 3 enfants, il y a eu 3 arbres généalogiques "distribués" de la sorte.
C'est ainsi que j'ai récupéré un écrit de mon grand-père, Augustin Anzieu. Il y donnait des informations sur ses parents et entre autre sur sa grand-mère maternelle. Je cite : "de ma grand-mère Henriette Souquières je ne sais pas grand chose. C'était une petite vieille toujours rieuse et gai. Elle portait une coiffe blanche. Elle était du Cantal, avait perdu ses parents très jeune et élevé par un oncle magistrat à Aurillac. Elle avait d'autres soeurs que je n'ai pas connus et qui à la mort des parents avait été réparties dans les familles apparentées. L'origine mais lointaine de sa famille était noble."
Cette Henriette Souquières avait vécu à Flagnac (au nord de l'Aveyron) avec son mari et ses enfants mais était donc originaire du Cantal. Après une visite à Flagnac ... il me fut impossible de remonter son ascendance. Il y a seulement quelques Souquières sans liens avec mon Henriette. Echec !
J'ai donc choisi de téléphoner systématiquement à des Souquières vivant dans le Cantal ... et éventuellement intéressés par la généalogie. Parmi mes coups de fil je contacte une dame Souquières ... "de bon poil ce jour là" ... comme elle me le dira plus tard. ;-) Elle ne s'intéresse pas du tout à la généalogie mais accepte de recevoir mes documents ... C'était Yvette. Le noyau dur du club des Souquières était né sans que nous ne le sachions à ce moment.
Quelques mois plus tard mes parents vont à Marcolès où ils rencontrent une autre dame, Claude Bru, qui fait des recherches généalogiques sur la région. Et en plus elle a des Souquières dans ses ancêtres. Chouette ! Pour raccourcir les évènements, grâce à Yvette Souquières et à Claude Bru je parvins à retrouver les frères et soeurs de Henriette, ses parents, grand-parents ainsi que plusieurs générations au-dessus.
Parfait ? Pas tout à fait. Il restait plusieurs mystères autour de "mon" Henriette - elle était née à Flagnac alors que ses 7 frères et soeurs étaient nés à Marcolès !? - ses parents n'étaient pas présents à sa déclaration de naissance !? - son acte de mariage est introuvable à Flagnac ainsi qu'à Marcolès !? Bref je savais beaucoup de choses sur Henriette mais impossible de mettre la main sur son acte de mariage ?!
Pendant ce temps Yvette se lance dans la généalogie. C'était de ma faute ! En revanche c'est Yvette qui fut responsable de mon lancement sur Internet. Grâce à Internet, Yvette établie un contact avec son cousin Jeff Souquières. Quelques semaines après Jeff eu l'idée lumineuse de créer la liste de discussion des Souquières. Nous étions trois (Jeff, Yvette et moi) ... c'était la naissance du groupe.
Quelques mois plus tard, impressionné par l'intérêt de cette liste, j'ai créé une liste dédiée à la généalogie dans le Cantal puis encore après une autre liste sur la généalogie en Aveyron ... je n'oubliais pas mon Henriette ;-)
Sur cette liste d'Aveyron je fais la connaissance (par internet) d'une ... canadienne vivant au Canada. Elle a quelques ancêtres à Flagnac. Nous échangeons nos renseignements. Elle me dit venir à Flagnac en juillet 2001 et ... me propose son aide. La magie d'internet !!! Le samedi 7 juillet 2001 je reçois l'acte de mariage de Henriette, enfin ! Les raisons de mes recherches sur les Souquières venaient de trouver un aboutissement.
Pour la petite histoire le papier de mon grand-père était exact sauf l'oncle magistrat était de Aubin en Aveyron et non d'Aurillac. Henriette, par sa mère, Jeanne Donzac, avait un oncle Louis Donzac, juge de paix du canton de Aubin qui l'a élevé durant 9 ans jusqu'à son mariage. C'est donc à Aubin qu'elle s'est naturellement mariée le 11/10/1859. D'où les quelques difficultés à retrouver cet acte.
A mes débuts en généalogie, dans des articles des revues, je m'émerveillais de ces histoires faites de trouvailles, retrouvailles et de hasard. A mon tour de faire partager ce plaisir.
Renaud Anzieu
Compte-Rendu de l'entretien téléphonique fait par Renaud Anzieu suite à un premier contact téléphonique avec Yvette Souquieres (retrouvé en août 2003) :
" 2 septembre 1996 : Compte-Rendu entretien téléphonique Souquieres Yvette (Marcoles - prononcer le "s" - 650 habitants) très gentille. Il y a 200 ans il y avait environ 40 souquieres à Marcolès (=> berceau supposé des Souquieres). Petit village médiéval. Personne n'a fait des recherches dans sa famille. Signification : Souquieres (Souque = souche, mot occitan là où il restait des souches quand on coupait les arbres). Mairie - secrétaire de Mairie, Mme Monparnal 71 64 72 20)" "2 septembre 1996 : CR ent. Souquieres Médecin à la clinique d'Albi (clinique de l'espérance) Ne s'y intéresse pas mais très gentil. Il a deux enfants. Par contre c'est le pharmacien à Aurillac qui s'y intéresse."
"13 septembre 1996 CR entretien avec Souquiere Philippe pharmacien. Très gentil, lui envoyer un courrier. a fait des recherches. va regarder ses papiers." "Relance en novembre 1996. CR entretien Souquiere Philippe, pharmacien, n'a pas trouvé d'infos me concernant. Me conseille M. Piales (chambre de commerce d'Aurillac) dont la mère était une Souquières tel ... " Ce sera Geneviève Gonthier (branche H)